Les groupes

why so sirius · Les moldu·e·s, les vrai·e·s, les pur·e·s. Enfin non, justement. Enfin bref, vous me suivez. Celleux-là, vous pourriez lancer un Endoloris à leur belle-mère ou changer leur théière en TARDIS et iels persisteraient à dire que c'est une maladie orpheline ou un effet de la lumière. La magie, dans leur petit esprit étriqué, ça se limite aux histoires pour enfants et aux illuminé·e·s qui appellent des chaînes de voyance au milieu de la nuit. Sur ce point, on ne peut pas franchement leur en vouloir, la Divination est une des branches les plus imprécises de la magie, comme dirait votre prof préférée. Mais il est quand même fou qu'iels ne se doutent de rien. Pas que les oubliators s'en plaignent et ça ne veut pas dire qu'iels ne peuvent pas apprécier une relecture du Seigneur des Anneaux ou une partie intense de Magic. Mais cela ne sera jamais réel pour elleux et leurs esprits cartésiens se refuseront toujours à voir la vérité. Pour le grand soulagement des né·e·s-moldu·e·s et sorcier·ère·s un peu négligent·e·s de ce monde.


just a glitch · Le monde magique, iels connaissent. Vilains petits canards de la famille et seul·e·s êtres démuni·e·s de pouvoirs de la fratrie, époux ou épouse de sorcier·ère fraîchement débarqué·e·s dans l'excentricité de ce monde ou ayant simplement découvert l'utilité de faire fonctionner tout seuls les appareils ménagers. Iels partagent cependant toustes un point commun : cracmol·le·s ou moldu·e·s au courant du secret magique, iels n'ont pas la capacité d'envoyer une beuglante à qui ose les importuner. Et si l'envie et peut-être la jalousie est présente chez certain·e·s d'entre elleux, d'autres prennent leur absence de pouvoirs comme une bénédiction... comme les membres des Oublié·e·s, par exemple.


the wicked witch · Le sortilège récurvite, la coupe des 4 maisons, le Quidditch, les potions anti-acné... Y a que ça de vrai! Celleux-là agitent des baguettes comme des idiot·e·s pour retrouver leurs clés et certain·e·s ne comprennent toujours pas exactement comment fonctionne leur Oyster Card. Ou le métro, pour tout dire. Mais iels n'en sont pas moins familier·ère·s avec le monde des moldu·e·s, comme on connaît plus ou moins les pays limitrophes du nôtre quand on habite pas loin d'une frontière. Certain·e·s s'y complaisent carrément. D'autres l'évitent au possible, mais Londres a beau être une grande ville, on finit toujours par se marcher un peu sur les pieds. Et c'est généralement là que les ennuis commencent.